Kamel Belkada, le dernier rempart vous salue !

US Tigzirt – Il est promis à un radieux avenir

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Il y a plein de talents qui sortent du lot dans les différentes régions du pays et dans de petits clubs de wilaya. C’est à l’image de Kamel Belkada, ce jeune keeper qui est né un certain 6 Novembre 2004 à Tigzirt. Le gardien de but de l’US Tigzirt un club du championnat de pré-honneur de Tizi Ouzou, a débuté dans l’école de football avant d’intégrer la catégorie des minimes ou des U15. Avec son bon gabarit et ses réflexes et sont positionnement sur la ligne de but et dans sa surface, il est vraiment le dernier rempart de son équipe et il est l’assurance tout risque de l’US Tigzirt. Malgré son jeune âge et il a à peine 16 ans, le petit Kamel Belkada joue avec les seniors et prend part à des tournois de football dans sa région, durant cette période de la pandémie. Il cravache aux entraînements et se donne à fond, en ne lâchant rien lui échapper, pour améliorer son rendement et ses qualités. Il fait même un travail de renforcement musculaire pour avoir plus de forces et faire face aux duels avec les attaquants au grand gabarit Le jeune Kamel Belkada ne veut pas s’arrêter en si bon chemin et se donne à fond, pour être au top et conclure un jour avec un club de haut niveau et de palier supérieur Il ne veut plus continuer à jouer en championnat jeunes de la wilaya de Tizi Ouzou et veut goûter à d’autres expériences et évoluer dans un club ambitieux qui répondra à ses larges attentes. Il veut taper dans l’œil des recruteurs et des éducateurs de différents clubs en Algérie, pour décrocher une place dans un proche avenir. C’est vrai, le petit Kamel veut bien intégrer les rangs de la JSK et c’est là son souhait le plus cher, et ce, comme tous les jeunes en Kabylie, mais s’il y aura une occasion qui se présente à lui, pour jouer dans d’autres clubs, comme la JSMB, le MOB, l’US Béni Douala, ou des clubs algérois, comme le MCA, l’USMA, le CRB, l’USMH, le NAHD et autres, il ne dira pas non. Le plus important pour lui, c’est de passer à un autre cap dans sa carrière et de connaître le haut niveau dès la saison prochaine. Kamel Belkada est plus que jamais animé d’une volonté d’acier, pour réaliser son rêve et de signer dans un très grand club en Algérie.

C’est Monsieur 50%!

Le portier Kamel Belkada ne veut pas rester dans ce palier et veut gravir les échelons et prétendre à une place dans un club de palier supérieur. Il a des qualités et il est l’assurance tout risque comme on l’appelle chez lui à l’US Tigzirt. Le petit Kamel a prouvé qu’il peut évoluer facilement dans un club de la ligue deux ou une, ou au moins en DNA. Il suffit juste de le faire travailler davantage et d’être bien pris en charge par un bon coach des gardiens de but. Quand il est dans la cage il donne de l’assurance aux défenseurs et à toute l’équipe et il est sur le qui vif et intercepte toutes les balles aériennes. Il est bien en place sur sa ligne de but et les attaquants doivent vraiment être percutants et au même temps intelligents pour lui marquer. Ce qui fait de lui, le dernier rempart et l’assurance des minimes de l’US Tigzirt. C’est vraiment un talent à l’état pur qui est monsieur 50% de l’équipe. S’il n’est pas dans la cage, c’est la panique générale chez ses coéquipiers et le staff technique, tellement il donnait plus d’assurance et de confiance au groupe. Pour voir, combien il a son poids dans le onze de l’UST. C’est le genre de gardien comme Chaouchi ou M’Bolhi ou les Navas, Nuer ou Courtois. C’est un gardien de but courageux et n’a peur de personne et il va au charbon dans des actions aériennes et il maitrise bien son périmètre, en surclassant équipiers et adversaires. Même pour sa prise de balle et les réflexes, il est très bon. Son placement et son déplacement sur la ligne de but, sont bien maitrisés.

“Je rêve de jouer à la JSK et de défendre le maillot national”

Le jeune Kamel Belkada ne cache pas son désir et son souhait de gravir les échelons et d’évoluer au sein d’une équipe ambitieuse qui répondra à ses larges attentes. Il veut s’engager avec un club de palier supérieur dès la prochaine saison, en cas de reprise des compétitions en jeunes catégories et il ne manque pas de contacts: “J’ai porté les couleurs de l’US Tigzirt et je ne peux oublier mon passage chez les bambins de ce club. C’est mon club de toujours, mais il est temps pour moi de passer à une autre étape dans ma carrière et je pense que j’ai les capacités pour atteindre cet objectif. Il n’y a pas de secret dans la réussite d’un joueur ou d’un gardien de but comme moi et seul le travail paye”. Il continue en nous déclarant ce qui suit: “Je sais bien que ce n’est pas facile de s’imposer dans un club de ligue deux ou une, ou même en DNA et en Régionale. Mais avec le travail et la volonté, on peut surpasser ces obstacles et aller de l’avant. Je sais ce que je vaux et je crois dur comme fer, en mes capacités de jouer dans un club ambitieux. Je n’ai même pas 16 ans et l’avenir est devant moi”. Le jeune portier Kamel Belkada conclut en estimant que: “Tout est possible dans le football et il faut juste y croire. Seul le travail paye, comme je vous ai déclaré et je suis quelqu’un qui ne lâche rien et qui veut se transcender pour connaître d’autres sensations avec un autre club. J’ai des touches avec plusieurs clubs et je vais même passer des tests avec des clubs de ligue deux et une. Je tenterai ma chance pour décrocher une place dans un club de palier supérieur la saison prochaine. C’est mon souhait le plus cher et je veux connaître le haut niveau et élever mon niveau de plus en plus. Il y a plusieurs gardiens de buts qui sont mes idoles, comme Gaya Merbah, M’Bolhi, Benbot et Chaouchi et il y a aussi sur le plan mondial, Nuer, Courtois, Navas pour ne citer que ces grands gardiens de but. Je veux devenir comme eux, en jouant dans un club de haut niveau en Algérie et de décrocher un contrat professionnel en Europe. Rien n’est impossible et je reste persuadé que je peux atteindre le haut niveau”. On ne peut que souhaiter bonne chance et grande réussite dans sa carrière pour le jeune gardien de but Kamel Belkada.

Massi Boufatis

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